DANS LA PRESSE...
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TF1
Journal télévisé du 21 juillet 2017
Le Figaro 2020
A-t-on annulé trop tôt les festivals, sabordant l’été par excès de précaution sous la pression des tutelles et des médias ? C’est ce que pense le flûtiste Philippe Bernold, directeur de Saoû chante Mozart. La manifestation fait partie des résistants, qui s’étaient refusés à tirer un trait sur 2020 et dont les annonces de maintien nous remontent comme une pêche miraculeuse depuis la phase 2 du déconfinement.
Le Figaro 2019
Pour ses 30 ans, "Saoû Chante Mozart" aura enchanté tout un territoire. C'est trois semaines qu'il aurait fallu rester pour prendre la mesure de l'ampleur prise par ce festival qui a tout, maintenant, pour jouer dans la cour des grands. Une manifestation à qui l'on doit le maillage musical d'un département extrêmement étendu et contrasté.
(Christian Merlin - 22 Juillet 2019)
Le Figaro 2017
Le Nouvel Observateur
Coup de cœur pour le plus inattendu et le plus délicieux des festivals. Ce qu’on y trouve n’est pas ailleurs. (Ivan A. Alexandre)La Croix
Connaissez-vous le festival de Saoû dans la Drôme ? Depuis 1989, cette patrie du Picodon (le délicieux petit fromage de chèvre…) chante Mozart. Dans un cadre de rêve, le village honore Wolfgang Amadeus avec ce mélange d’exigence artistique et de convivialité qui donne toute leur saveur aux manifestations estivales réussies. (Emmanuelle Giuliani)Libération
De véritables obsédés de Mozart. Explorer le répertoire et la vie du compositeur, les organisateurs du festival Saou chante Mozart ne pensent qu'à ça. Et ils le font bien. Seul le plaisir d'un dîner sous les platanes (compris dans le concert du 22 juillet) parvient, entre deux sonates, à les en détourner... (Stéphane Lebard)
Le Figaro-Lyon
Pour les mélomanes, l’une des escales incontournables sur le chemin des festivals estivaux. Ici, l’on joue Mozart dans les églises mais aussi et surtout en plein air, dans la cour des châteaux comme sous les platanes des places publiques. On joue Mozart dans la décontraction mais la passion, la rigueur et le souci d’attirer grands noms et jeunes talents. (Gérard Corneloup)Le Monde
Henry Fuoc aime ce village tout autant que Mozart. Et c'est ainsi qu'il s'est lancé, avec Anne sa femme, dans l'organisation d'un festival dédié au compositeur autrichien. Cette année, « Saoû chante Mozart » fête sa quinzième édition. Cette pérennité tient à quelques bonnes raisons : des musiciens de renommée, comme le flûtiste Philippe Bernold, les pianistes Anne Queffélec et Ariane Jacob ou le clarinettiste Michel Portal, qui apprécient de jouer ici, dans cette atmosphère sérieuse et légère, pour des concerts souriants ; et le public s'y retrouve, avec en prime les étoiles des nuits de l'été. (Bruno Caussé).Kronen Zeitung (Vienne)
Une fête de la musique qui rappelle les initiatives des légendaires Svjatoslav Richter et Mstislav Rostropowitsch : comme eux autrefois dans La Grange de Mesley près de Tours, un maire dynamique et quelques habitants affamés de culture ont créé il y a 20 ans un Festival Provençal (…) Un festival dominé par la qualité, l’ambiance et l’atmosphère. (Francis Claudon)
Le Dauphiné Libéré 2020
Le festival Saoû chante Mozart a encore une fois réussi une belle soirée. Conditions sanitaires obligent, le concert était doublé : certains ont eu droit au soleil de fin d’après-midi… Les autres ont profité d’un début de nuit parfumé à la lavande.
(Eric Valla - juillet 2020)
Le Dauphiné Libéré
Cette plénitude a été atteinte au prix d’une exigence sévère régie par le plaisir et la connaissance du grand Wolfgang. (Eric Valla)
Télérama
Et le beau festival d’Henry Fuoc continue vaillamment d’enchanter quelques hauts lieux de la Drôme, dont le charme convivial aurait touché le très humain Wolfgang !
Le Progrès
Le seul festival français consacré au divin Mozart affiche une belle santé tout en conservant un goût certain pour l’excellence dans l’intimité et la décontraction. (Jean-Marc Durand)Lyon Capitale
Consacrer trois semaines d’été aux œuvres de Mozart et ses contemporains est presque de l’inconscience. C’est pourtant le défi que relève, chaque année, le festival “Saoû chante Mozart”, en affichant complet à tous les concerts. (S. S.-A.)Répertoire
Comment se prétendre mozartien et ignorer ce qui se trame depuis une douzaine d’années au doux pays de la clairette sous l’impulsion de Philippe Bernold ?Le Républicain Lorrain
Un festival mozartien qui grandit chaque année et touche maintenant une dizaine de villes dans la Drôme.(Brigitte Massin)24 heures (Lausanne)
Au fil des années, Saoû est devenu le rendez-vous des amoureux de Mozart en France. Le petit festival Saoû chante Mozart a débuté le temps d’un week-end autour de quelques passionnés, un jour de juillet 1989. Il anime aujourd’hui le début de l’été dans tout le département de la Drôme. Mais, comme chaque année, le cœur du festival vibre à Saoû à l’occasion du concert et du repas campagnard sous les platanes. En cette fin de journée radieuse, la pureté du ciel et l’embrasement des parois de calcaire par le soleil couchant formaient le décor d’une sérénade inoubliable. Le climat lumineux d’un quintette de Carl Stamitz, le ravissement serein du Quatuor avec flûte K. 285 de Mozart, avec l’exquis Philippe Bernold, les raffinements généreux du Quintette K. 515 s’accordaient à merveille au chatoiement de la nature. (Mathieu Chenal)La Tribune
Une soirée inoubliable. Jamais sans doute l’appellation Mozart sans cravate n’aura revêtu autant de sens. Nous avons assisté à une véritable prouesse du pianiste turc Fazil Say (…) Il vit sa musique, toute la musique, ne se cantonne pas dans un style, témoin son final jazzy éblouissant en bis de “Summertime”. Une soirée de pur bonheur. (Philippe Cahn)Resmusica.com
Le facétieux salzbourgeois se serait sans doute le premier amusé de l’originalité du lieu (la Forêt de Saou), mais ce qui l’aurait enthousiasmé c’est l’absence totale de prétention et de snobisme qui y règne. Atmosphère détendue, délicieusement estivale à mille lieux des rictus constipés et autres dégaines guindées de certains festivals plus huppés (…) Un cru millésimé, affichant complet pour la quinzaine de concerts prévus, et qui a permis d’entendre en terre drômoise Sandrine Piau, Michel Portal, le quatuor Debussy, Marie-Josèphe Jude, Fazil Say entre autres invités de prestige. (Arnaud Buisson)